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Mgr Guy Sansaricq est le premier évêque ha?tiano-américain de la diaspora et il est le directeur du Centre national de l'Apostolat ha?tien à l'étranger. ? célébra son cinquantième Tiffany Earring for sale de vie sacerdotale le mois de juin dernier en plus de commémorer son quatrième anniversaire de vie episcopale le 22 ao?t prochain. Nous profitons de cette double occasion pour l'inviter à répondre à certaines questions pour la colonne ?Religion et Société ? d'?a?i- Observateur et les amis du Centre national. Buteau Espiègle - Bonjour, Mgr SansaricMgr Guy Sansaricq - Bonjour, Frère Tob !B.E. - Comment se porte le Centre national de l'Apostolat ha?tien à l'étranger ?M. GS. - D"abord, disons ce que c'est une institution incorporée comme ? non-profit ? (à but non lucratif) par l'état de New York depuis 1988. Sa mission première fut de mettre ensemble toutes les communautés catholiques des états-Unis pour former un forum de réflexion sur les besoins pastoraux et humains de notre population. à partir de ces réflexions communes, des programmes d'action de nature primordialement pastorales se développeront. Cette perspective s'est élargie avec le temps pour inclure toutes les composantes de la communauté. Nous pouvons maintenant répondre à votre question en deux parties : Positivement nous pouvons dire que nous avons réussi a survivre pendant vingt-deux Tiffany CuffLink for sale avec la même vigueur et le même enthousiasme des débuts. Nos programmes produisent des fruits excellents qui nous encouragent à continuer. Il s'agit d'un processus. Nous avons commencé en petit. Nous prenons de l'extension de jour en jour. Négativement nous souffrons du manque de compréhension de beaucoup de prêtres et de fidèles qui nous ignorent et ne participent pas à nos programmes. De plus, au plan financier, alors que nous avons des dépenses de l'ordre de $ 5 000,00 par mois, l'appui financier de nos amis reste dérisoire. Ce n'est pas un signe de maturité!

B.E. - Pouvez-vous nous parler de la ville de Jérémie au temps de votre enfance ?M.G.S.-Je suis né et ai grandi à Jérémie, le dernier d'une famille de six enfants. Mon enfance a été heureuse. J'ai eu la grace d'une famille ?reprochable. La ville me paraissait coquette, avec une très belle église paroissiale, des célébrations ferventes, une place publique centrale bien maintenue, un h?pital, deux bonnes écoles élémentaires tenues par les Frères de l'Instruction chrétienne pour les gar?ons et par les Filles de la sagesse pour les filles. ? y avait aussi des écoles élémentaires publiques au niveau Tiffany Bracelet for sale plus faible mais quand même relativement bien tenues. Le lycée de Jérémie semblait avoir d'excellents professeurs et faisait la fierté de la ville. Je n'ai jamais eu de conflit avec mes voisins et mes camarades de classe. Je pouvais me promener tout seul dans les quartiers les plus pauvres de la ville sans jamais sentir d'animosité. Dans la ville, il y avait des artistes, des ,poètes, une très belle chorale à l'église. Nous avions aussi une église protestante très respectable. Plusieurs de ses membres m'étaient apparentés. Nous entretenions des relations normales avec eux. Leurs enfants d'ailleurs fréquentaient les institutions catholiques sans jamais souffrir de préjuges. C'était sous les présidences de Sténio Vincent d'?lie Lescot de Dumarsais Estimé et des premières années de Paul Eugène Magloire.B.E. - Vous venez de célébrer cinquante ans de vie sacerdotale. Quelles sont les réalisations dont vous êtes le plus fier?

M.G.S. - Les sept années que j'ai passées à Nassau Bahamas ont été les années les plus riches de mon expérience sacerdotale. Après un an de sacerdoce, Mgr Collignon, sur la demande de l'évêque de Nassau, me demanda de m'y rendre. Je suis parti vers l'inconnu les mains vides ne sachant rien de ce qui m'attendait Je me suis Tiffany Bangle for sale seul prêtre ha?tien devant une masse de peutêtre quarante mille Ha?tiens très pauvres en provenance essentiellement de La Tortue, du Nord-Ouest et des banlieues du Cap-Haitien et parfois aussi de quartiers pauvres de Port-au-Prince. Cette population en majorité illettrée arnvee illégalement par bateau était dispersée sur toutes les ?les de l'archipel, je veux parler de Nassau, Andros, Abaco, ?leuthera, Bimini, etc. Le plus grand nombre réussissait à travailler tant bien que mal dans des emplois mal payés jugés trop pénibles et humiliants pour les natifs. L'immigration bahamienne était continuellement à leurs trousses pour les anêter, les emprisonner et les déporter. Chaque vendredi après-midi je visitais la prison où les détenus me disaient préférer être dévorés par les requins que de retourner en Ha?ti. Ils me disaient qu'aux Bahamas, il y avait quand même un espoir de trouver à travailler tandis qu'en Ha?t il n'y avait aucun espoir. C'était du temps de Duvalier. Je me suis livré à un travail pastoral et social intense que je ne puis pas décrire ici mais qui m'a profondément marqué. J'ai découvert la pauvreté, la détresse humaine et également la puissance de la foi. J'ai découvert le r?le du prêtre.

 

 

Par tiffanynecklaces221 le vendredi 07 janvier 2011

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